Quand un adolescent neuroatypique décroche à l’école, ce n’est presque jamais une question de capacités.

C’est souvent le signe qu’on n’a pas compris son fonctionnement.
Et quand un salarié neuroatypique s’épuise au travail ?

C’est exactement la même mécanique.

📍 Les besoins sont différents, les environnements changent,
mais le même malentendu persiste :
on cherche à “corriger” au lieu de comprendre.

👉 La neurodiversité n’est pas un problème d’école, ni un problème d’entreprise.

C’est un enjeu sociétal et collectif.

Notre expérience auprès des familles, des jeunes et des entrepreneurs nous permis de comprendre des mécanismes que nous retrouvons aujourd’hui dans les structures : besoin de sens, de reconnaissance et d’ajustement.

Et vous, dans votre environnement professionnel, avez-vous déjà observé ce même décalage ?